4 pages pour comprendre comment myActivHub a décuplé ses performances et réduit ses coûts Cloud de 30 %

Serverless : comment éviter les dérives de coûts, fiabiliser ses SLAs et garder la main sur la roadmap ?

Quand José et Benoît nous ont contactés, ils cherchaient avant tout du renfort Node.js pour faire évoluerleur plateforme documentaire 100 % serverless développée en autodidactes sur AWS.

Mais très vite, un autre besoin est apparu : avant d’ajouter des fonctionnalités, il fallait reprendre en main l’architecture, stabiliser les environnements, fiabiliser les déploiements et encadrer les coûts.

Ce REX raconte comment cette mission a permis à myActivHub de fiabiliser ses SLAs, de traiter +3 000 pages/minute et de réduire ses coûts Cloud de 30 à 40 %, tout en posant un socle DevOps capable de supporter la croissance.

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Synthèse structurée
Les décisions clés, les enjeux business.

Méthode de terrain
La méthode concrète pour structurer le serverless sur AWS, fiabiliser les SLAs et éviter les dérives.

2 dossiers techniques
Missions, compétences et durée d’intervention des profils mobilisés.

7 résultats concrets
- 30–40 % sur les coûts Cloud, +3000 pages traitées/minute...

Le serverless séduit : on développe plus vite, sans gérer de serveurs.

Une option solide pour myActivHub dont la plateforme agrège des volumes documentaires très variables.

Mais derrière les avantages de scalabilité et de paiement à l’usage, la plupart des équipes qui travaillent en serverless sans socle DevOps se confrontent vite à :

des coûts Cloud imprévisibles, qui explosent à la moindre montée en charge
des environnements fragiles qui ralentissent la roadmap
des SLAs instables qui mettent la direction sous tension
une architecture difficile à faire évoluer

Le problème que vivent 90% des équipes serverless

« Il vaut mieux utiliser des outils d’infrastructure as code qui garantissent que l’infrastructure est toujours identique. Avec une infrastructure gérée en code, le time-to-business est multiplié par dix par rapport à une infrastructure manuelle. »
Ryan Bouamara, Ingénieur DevOps

Sans versioning clair, sans automatisation, sans visibilité sur l’impact d’une nouvelle fonctionnalité, c'est le risque de perdre la main :

la visibilité sur les délais
la maîtrise des priorités,
l'origine des incidents
et les raisons derrière les coûts qui grimpent

La première étape pour myActivHub a été de reprendre le contrôle sur le compte AWS : réorganiser les ressources, clarifier les tags, structurer les services par environnement.

En parallèle, l’équipe DoNow a posé les standards DevOps essentiels : sauvegardes régulières, repository Git, pipelines de déploiement automatisés et trois environnements propres (développement, préproduction, production).

Un travail de fond qui a ouvert la voie à la deuxième étape du projet.

Tenir la roadmap : le vrai défi d’une infrastructure serverless qui scale

« On a acquis cette compétence AWS. On a résolu plusieurs problèmes et limitations, qui venaient du fait qu’on n’utilisait pas correctement les outils. En trouvant les solutions, on a levé ces blocages. »
José Castellon, cofondateur de myActivHub et directeur associé d'ActivBold

Avec un socle DevOps solide et un compte AWS enfin structuré, myActivHub a pu reprendre sa trajectoire initiale.

Deux développeurs Node.js, aguerris au serverless, ont rejoint la mission. Leur maîtrise d’AWS et des bonnes pratiques serverless a joué un rôle clé : écrire du code qui s’exécute vite, qui consomme juste, et qui ne déclenche pas de dérives invisibles sur la facture.

Aujourd’hui, myActivHub se distingue par son moteur de règles précis, sa capacité de traitement et sa vitesse d’exécution dans les processus documentaires complexes.

Développer de nouvelles fonctionnalités… sans multiplier le prix des Lambdas

« En serverless, la bonne pratique, c’est de limiter les appels. Beaucoup vérifient d’abord si un fichier existe avant de le lire… ce qui fait deux appels. Le réflexe serverless, c’est l’inverse : lire directement et gérer l’erreur. Un seul appel, moins de coûts. »
Tanguy Charon, CEO de DoNow

Lire le REX complet

4 pages pour comprendre les raisons stratégiques derrière le serverless :

1️⃣ Le contexte : une plateforme documentaire développée entièrement sur AWS.

2️⃣ Le défi : industrialiser l’architecture pour absorber les volumes et accélérer le développement.

3️⃣ L’équipe mobilisée : un ingénieur DevOps et deux développeurs Node.js, avec leurs missions, compétences et durées d’intervention détaillées.

4️⃣ Les résultats : plus de performance (+3 000 pages/minute), plus de fiabilité (automatisation et Git), et une architecture prête à évoluer (et moins chère !)

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4 pages pour comprendre comment myActivHub a décuplé ses performances et réduit ses coûts Cloud de 30 %

En 4 pages, découvrez comment une mission de développement Node.js s’est transformée en un accompagnement structurant : remise en ordre du compte AWS, mise en place d’un socle DevOps fiable et consolidation d’un projet 100 % serverless.

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Ce que vous allez trouver dans ce retour d'expérience :

2 dossiers techniques détaillés

Méthodes de terrain

7 résultats concrets

Le serverless séduit : on développe plus vite, sans gérer de serveurs.

Une option solide pour myActivHub dont la plateforme agrège des volumes documentaires très variables.

Mais derrière les avantages de scalabilité et de paiement à l’usage, la plupart des équipes qui travaillent en serverless sans socle DevOps se confrontent vite à :

des coûts Cloud imprévisibles, qui explosent à la moindre montée en charge
des environnements fragiles qui ralentissent la roadmap
des SLAs instables qui mettent la direction sous tension
une architecture difficile à faire évoluer

Le problème que vivent 90% des équipes serverless

« Il vaut mieux utiliser des outils d’infrastructure as code qui garantissent que l’infrastructure est toujours identique. Avec une infrastructure gérée en code, le time-to-business est multiplié par dix par rapport à une infrastructure manuelle. »

Ryan Bouamara, Ingénieur DevOps

Sans versioning clair, sans automatisation, sans visibilité sur l’impact d’une nouvelle fonctionnalité, c'est le risque de perdre la main :

la visibilité sur les délais
la maîtrise des priorités,
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La première étape pour myActivHub a été de reprendre le contrôle sur le compte AWS : réorganiser les ressources, clarifier les tags, structurer les services par environnement.

En parallèle, l’équipe DoNow a posé les standards DevOps essentiels : sauvegardes régulières, repository Git, pipelines de déploiement automatisés et trois environnements propres (développement, préproduction, production).

Un travail de fond qui a ouvert la voie à la deuxième étape du projet.

Tenir la roadmap : le vrai défi d’une infrastructure serverless qui scale

« On a acquis maintenant cette compétence AWS. On a résolu plusieurs problèmes et limitations, qui venaient du fait qu’on n’utilisait pas correctement les outils. En trouvant les solutions, on a levé ces blocages. »

José Castellon, cofondateur de myActivHub et directeur associé d'ActivBold

Avec un socle DevOps solide et un compte AWS enfin structuré, myActivHub a pu reprendre sa trajectoire initiale.

Deux développeurs Node.js, aguerris au serverless, ont rejoint la mission. Leur maîtrise d’AWS et des bonnes pratiques serverless a joué un rôle clé : écrire du code qui s’exécute vite, qui consomme juste, et qui ne déclenche pas de dérives invisibles sur la facture.

Aujourd’hui, myActivHub se distingue par son moteur de règles précis, sa capacité de traitement et sa vitesse d’exécution dans les processus documentaires complexes.

Développer de nouvelles fonctionnalités… sans multiplier le prix des Lambdas

« En serverless, la bonne pratique, c’est de limiter les appels. Beaucoup vérifient d’abord si un fichier existe avant de le lire… ce qui fait deux appels. Le réflexe serverless, c’est l’inverse : lire directement et gérer l’erreur. Un seul appel, moins de coûts. »

Tanguy Charon, CEO de DoNow

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1️⃣ Le contexte : une plateforme documentaire développée entièrement sur AWS.

2️⃣ Le défi : industrialiser l’architecture pour absorber les volumes et accélérer le développement.

3️⃣ L’équipe mobilisée : un ingénieur DevOps et deux développeurs Node.js, avec leurs missions, compétences et durées d’intervention détaillées.

4️⃣ Les résultats : plus de performance (+3 000 pages/minute), plus de fiabilité (automatisation et Git), et une architecture prête à évoluer (et moins chère !)

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« On a acquis cette compétence AWS. On a résolu plusieurs problèmes et limitations, qui venaient du fait qu’on n’utilisait pas correctement les outils. En trouvant les solutions, on a levé ces blocages. »

José Castellon, cofondateur de myActivHub et directeur associé d'ActivBold

« En serverless, la bonne pratique, c’est de limiter les appels. Beaucoup vérifient d’abord si un fichier existe avant de le lire… ce qui fait deux appels. Le réflexe serverless, c’est l’inverse : lire directement et gérer l’erreur. Un seul appel, moins de coûts. »

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« Il vaut mieux utiliser des outils d’infrastructure as code qui garantissent que l’infrastructure est toujours identique. Avec une infrastructure gérée en code, le time-to-business est multiplié par dix par rapport à une infrastructure manuelle. »

« On a acquis maintenant cette compétence AWS. On a résolu plusieurs problèmes et limitations, qui venaient du fait qu’on n’utilisait pas correctement les outils. En trouvant les solutions, on a levé ces blocages. »

« En serverless, la bonne pratique, c’est de limiter les appels. Beaucoup vérifient d’abord si un fichier existe avant de le lire… ce qui fait deux appels. Le réflexe serverless, c’est l’inverse : lire directement et gérer l’erreur. Un seul appel, moins de coûts. »

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« On a acquis cette compétence AWS. On a résolu plusieurs problèmes et limitations, qui venaient du fait qu’on n’utilisait pas correctement les outils. En trouvant les solutions, on a levé ces blocages. »

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« En serverless, la bonne pratique, c’est de limiter les appels. Beaucoup vérifient d’abord si un fichier existe avant de le lire… ce qui fait deux appels. Le réflexe serverless, c’est l’inverse : lire directement et gérer l’erreur. Un seul appel, moins de coûts. »

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Serverless : comment éviter les dérives de coûts, fiabiliser ses SLAs et garder la main sur la roadmap ?

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« Il vaut mieux utiliser des outils d’infrastructure as code qui garantissent que l’infrastructure est toujours identique. Avec une infrastructure gérée en code, le time-to-business est multiplié par dix par rapport à une infrastructure manuelle. »

« On a acquis maintenant cette compétence AWS. On a résolu plusieurs problèmes et limitations, qui venaient du fait qu’on n’utilisait pas correctement les outils. En trouvant les solutions, on a levé ces blocages. »

« En serverless, la bonne pratique, c’est de limiter les appels. Beaucoup vérifient d’abord si un fichier existe avant de le lire… ce qui fait deux appels. Le réflexe serverless, c’est l’inverse : lire directement et gérer l’erreur. Un seul appel, moins de coûts. »

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